Princesse Sarah

L’histoire se passe à Londres (Angleterre) en 1885. Sarah Crew, alors âgée de huit ans, est la fille d’un riche homme d’affaires, exploitant d’une mine de diamants en Inde. Sa mère est morte alors qu’elle n’était qu’un bébé.

Devant repartir en Inde, son père, sur les conseils de son avocat, la place dans un petit pensionnat pour jeunes filles afin d’y recevoir la meilleure éducation.

Les premiers temps, la petite fille est traitée avec tous les égards dus à sa fortune. Sarah, surnommée la princesse diamant, est accueillie chaleureusement par Mlle Mangin, la directrice, et par les autres élèves du pensionnat. Seule Lavinia, l’ancienne favorite de Mlle Mangin, la déteste ouvertement.

Un jour pourtant, alors qu’elle fête son neuvième anniversaire, sa vie bascule en apprenant la faillite et le décès de son père.

Sans ressources, elle est engagée comme servante par la cupide directrice du pensionnat. Brimée et sans cesse rabaissée par cette dernière, ainsi que par Marie et James, deux employés du pensionnat, Sarah subit également les railleries de Lavinia, Gertrude et Jessie, d’anciennes camarades de classe.

Dorénavant, elle devra travailler dur pour l’internat : se rendre à Londres tôt le matin pour y acheter les courses de la journée, nettoyer les sols et toutes les pièces de l’école, laver la vaisselle et les vêtements de ses anciennes camarades, être de corvée de charbon…

Souvent punie pour sa force de caractère, ses forces commencent lentement à décliner, ses habits à s’abimer et sa santé à se détériorer. Loin des regards de ses persécuteurs, entre les murs de sa mansarde, elle se laisse aller au désespoir et pleure sur la photo de ses parents.

Becky, Peter, Lottie et surtout Marguerite, les quelques amis qui lui restent, ainsi que son immense courage et sa ténacité l’aideront à surmonter cette descente aux enfers.

Histoire digne d’un conte de fées, Princesse Sarah montre la dure réalité du travail des enfants au 19ème siècle ainsi que le fossé entre les différentes classes sociales en Angleterre. À l’instar de « Rémi sans famille », ce dessin animé dégage une atmosphère lourde et sombre et les scènes tristes et émouvantes ne manquent pas. Mouchoir de rigueur !

Générique interprétée par Christine D’Avina sur les paroles d’Alessandra Valeri Manera
Princesse Sarah, mignonne p’tite fille
Fraîche fleur que baigne la rosée (baigne la rosée)
Toujours caressée (toujours caressée)
D’un vent très léger (d’un vent très léger)
Une fleur qui est forte et qui restera bien levée, levée

Princesse, Princesse
Tu es bien jolie (Tu es bien jolie)
Tu viens à l’aide
De tous tes amis (De tous tes amis)

Douce Sarah, p’tite aux yeux pleins de joie
Le sourire est avec toi
Tu seras capable
Le sourire aimable
D’oublier le mal, ma p’tite chérie

Princesse, Princesse
Tu es bien jolie (Tu es bien jolie)
Tu viens à l’aide
De tous tes amis (De tous tes amis)

Douce Sarah, les yeux pleins de joie

  • Titre original : Shôkôjo Sara - Little Princess Sarah
  • Origine : Japon
  • Nombre d´épisodes : 46
  • Durée moyenne : 24 minutes
  • Année de production : 1985
  • Musique : Yasuo Higuchi et Kōichi Morita - Générique français interprétée par Christine D'Avina sur les paroles d'Alessandra Valeri Manera
Doublage

Barbara Tissier : Sarah Crew
Jocelyne Darche : Mlle Mangin
Marie Martine : Becky
Odile Schmitt : Lottie
Virginie Ledieu : Marguerite
Nicole Favart : Mlle Amélia
Raphaëlle Schacher : Lavinia Herbert
Emmanuel Garijo : Peter
Lisette Lemaire : Mary la cuisinière
André Dumas : James le cuisinier
Louis Arbessier : M. Dufarge, le professeur de français
Hervé Joly : le père de Sarah

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