L’histoire de deux jeunes orphelins de Brooklyn, Arnold et Willy, qui se font adopter par un riche homme d’affaires, Monsieur Drumond, veuf et père de Virginia, 13 ans. La maman d’Arnold et Willy était gouvernante chez Mr Drumond et elle lui a fait promettre avant de mourir de s’occuper de ses enfants.
Ils se retrouvent donc à Manhattan avec une femme de ménage un peu folle Mme Garret et un luxe bien loin de ce qu’ils ont connu à Brooklyn.
A noter l’apparition de prestigieuses « guest stars » comme Mr. T, Nancy Reagan, Muhammed Ali,…
Paroles du générique : ARNOLD ET WILLY (Alan Thicke / Gloria Loring / Al Burdon)
Adaptation : Jean-Pierre Jaubert
Personne dans le monde ne marche du même pas
Et même si la Terre est ronde, on ne se rencontre pas
Les apparences et les préférences
Ont trop d’importance, acceptons les différences
C’est vrai
Faut de tout, tu sais
Faut de tout, c’est vrai
Faut de tout pour faire un monde
Personne dans la vie ne choisit sa couleur
L’important c’est d’écouter son cœur
Si celui du copain est différent, très bien !
C’est le sien, tu as le tien et j’ai le mien
Alors tendons-nous la main
Tu sais
Faut de tout pour faire un monde
Oui c’est vrai, tu sais
Faut de tout pour faire un monde
Now, the world don’t move to the beat of just one drum
What might be right for you, may not be right for some
A man is born, he’s a man of means
Then along come two, they got nothing but their jeans
But they got,
Diff’rent Strokes – it takes
Diff’rent Strokes – it takes
Diff’rent Strokes to move the world
Everybody’s got a special kind of story
Everybody finds a way to shine,
It don’t matter that you got not alot, so what !
They’ll have theirs, you’ll have yours, and I’ll have mine
And together we’ll be fine
Because it takes
Diff’rent Strokes to move the world
Yes it does… it takes
Diff’rent Strokes to move the world.