En 2010, le Docteur John Watson, un ancien médecin de l’armée britannique ayant servi en Afghanistan, revient à Londres affligé d’un syndrome post-traumatique qui l’oblige à marcher avec une canne.
Fauché comme les blés mais bien décidé à prendre un poste de médecin généraliste, il trouve une co-location au 221B Baker street, dans une résidence tenue par Mrs hudson, une veuve septuagénaire.
Cependant son co-locataire est un personnage assez singulier et très agaçant, aussi brillant qu’associal ! Doué de facultés hors du commun, Sherlock Holmes est détective consultant pour Scotland Yard. L’inspecteur Lestrade fait régulièrement appel à ses dons exceptionnels d’observation et de déduction lorsqu’il n’arrive pas à résoudre certains crimes.
Très rapidement, Watson se retrouve entraîné dans les enquêtes de son co-locataire, à qui il apporte une aide précieuse en de nombreuses occasions, même s’il réprouve parfois les méthodes et le comportement de ce maître ès déductions.
Très arrogant, peu patient, parfois colérique, Sherlock ne fait pas l’unanimité au sein de la police. Se qualifiant lui-même de « sociopathe de haut niveau », Il n’hésite pas à dire ce qu’il pense, sans avoir peur de blesser ses interlocuteurs.
Bien ancré dans le XXIème siècle, Sherlock Holmes utilise tous les moyens modernes pour arriver à ses fins : téléphone portable, textos, Internet, microscopes électroniques et techniques d’analyses les plus modernes de la médecine légale sont ses nouveaux alliés. Le journal de jadis a même été remplacé par un blog, suivi quotidiennement par des milliers de clients potentiels.
Mais tapi dans l’ombre, le génie du Mal et « consultant criminel » James Moriarty va se révéler être un adversaire à sa mesure.
Cette adaptation libre des romans et nouvelles de Sir Arthur Conan Doyle transpose magistralement le célèbre duo dans un contexte contemporain.