Compositeur de jingles pour corn-flakes (entre autres), Charlie vit à Malibu, Los Angeles, dans une luxueuse villa au bord de la mer, roule en Jaguar et sort avec de superbes jeunes femmes.
Bref, tout baigne pour lui… jusqu’au jour où son frère Alan débarque avec son fils, Jake, âgé de 10 ans. En effet, Judith, sa femme, s’est aperçue qu’elle était lesbienne (tiens , ça ne vous rappelle pas quelque chose ?) et l’a mis à la porte. Bien entendu, Alan soutient que c’est une phase temporaire et demande à Charlie de les héberger, son fils et lui, pour quelques temps.
Tous les deux et demi vont alors devoir apprendre à vivre ensemble malgré leurs différences pour offrir un foyer stable pour Jake, qui n’est apparemment pas le plus gamin de tous…
Autour de cette mini-famille recomposée gravitent de nombreux personnages tout aussi loufoques : Evelyn, la mère ultra-possessive d’Alan et Charlie (avec une nette préférence pour Alan), Bertha, la femme de ménage de Charlie (qui ne supporte pas les critiques ménagères d’Alan) et Rose, une ex-conquête un peu dérangée de Charlie (Le problème, c’est qu’elle habite à deux maisons d’ici et qu’elle est carrément obsédée par Charlie, allant même jusqu’à lécher ses couverts et s’enchaîner au frigo…).
Au final, une mini-comédie familiale et sympathique sur les relations entre les hommes et les femmes, le sexe, les rencarts, le divorce, les relations parentales, et plus important, l’amour. En d’autres mots, sur la vie…
Une de mes scènes préférées :)))
Ivres morts, Charlie et Alan veulent se rendre chez leur mère et donnent pour indication au chauffeur de taxi :
– Charlie : « Allez vers l’est, sur Sunset, jusqu’aux portes de l’enfer… »
– Alan : « Maman ouvrira »