Par une nuit sombre, le long d’une route solitaire de campagne, alors que l’architecte David Vincent cherchait un raccourci que jamais il ne trouva, il fut en revanche le témoin de l’atterrissage d’un vaisseau venu d’une autre galaxie. Maintenant David Vincent sait que les Envahisseurs sont là, qu’ils ont pris forme humaine et qu’il lui faut convaincre un monde incrédule que le cauchemar a déjà commencé.
Les Envahisseurs ont l’auriculaire raide (sauf pour les plus importants d’entre eux), n’ont pas de pouls et ont besoin de s’auto-régénérer régulièrement dans des stations réclamant de grosses quantités d’énergie sinon ils meurent. Quand ils meurent, ils brûlent en ne laissant pratiquement aucune trace et quand ils sont blessés, ils ne saignent pas. L’oxygène pur leur est fatal.
Au fil des épisodes, David Vincent parvient à se constituer un petit groupe de sympathisants, parmi lesquels Edgar Scoville (Ken Smith), un riche homme d’affaires qui mettra sa puissance financière au service de la lutte…
Un téléfilm décevant avec Scott Bakula verra le jour en 1995.
Petite anecdote amusante : vers la fin des années 1990, la société Hitachi a diffusé à la télévision française une publicité où l’on voyait Roy Thinnes dans une interview factice répondre d’un air songeur : « Ah si seulement j’avais eu mon caméscope Hitachi ».